Le moteur
Le bon vieux Couach essence, en état de marche, après plus de 40 ans de bons et loyaux services. | |
Les deux premières
photos sont prises de la descente.
Le vieux Couach est sorti, les peintures ont été grattées. Le fond de la cale est tapissé de brai. Dès qu'il y a un peu d'eau dans les fonds, elle devient marron-noire et salit tout. Pour essayer d'éviter cela, nous avons coulé de la résine d'inclusion par-dessus (c'est le pot qu'on voit à droite sur la photo). |
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Du tissu de verre a été stratifié à l'époxy pour rendre l'ensemble étanche et constitué ainsi une gatte étanche, ce qui nous met en conformité avec la législation. | |
L'emplacement moteur (ce n'est pas encore un compartiment) prêt à recevoir les longerons en frêne qui serviront de bâti au moteur. On aperçoit au fond l'ancien tourteau d'accouplement et la ligne d'arbre. | |
Il est arrivé à bord, mais non sans mal. Le grutier était en vacances et le bras de levage du travel-lift était en panne. C’est l’ingénieux Philippe, le Caleur, qui, avec son transpal nous a dépanné. Comme il n’était pas assez haut, il a installé le moteur sur plusieurs palettes puis il a levé le tout pour que le moteur arrive au niveau du pont. A partir de là, le tour était joué, il ne restait plus qu’à passer la « bête « à bord.
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Grâce au solide palan gréé sur la bome, il est posé dans le cockpit, et de là, déplacé jusqu'à sa place. On ne pas encore parler de compartiment moteur. L'opération a été effectuée par deux personnes. | |
Et le voici en place, opérationnel dans son coffrage. | |
Une grosse tripale a
remplacé l'ancienne bipale. Il a été nécessaire d'agrandir la cage
d'hélice pour conserver au moins dix pourcents d'espace libre autour.
Tout ce qui reste de l'ancien système de propulsion est l'arbre d'hélice en bronze qui a été réalésé pour s'adapter au nouveau tourteau d'accouplement souple, le tube d'étambot et le presse étoupe. |
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